09 août 2014 – Journée culturelle à Oslo

Réveil matinal pour cause de départ à l’aéroport pour Christine. Nous descendons en bas de la rue pour prendre notre petit déjeuner en terrasse. Il fait beau et chaud, une belle journée s’annonce. Puis je l’accompagne jusqu’à l’arrêt de tramway. Je trimbale mon sac de linge sale car je vais aller directement au Landromat café faire une lessive.

Je laisse ma co-équipière ici : bon retour !

Je me dirige ensuite vers le Landromat… et je me casse le nez sur la porte. Pendant les vacances, ça ouvre à 10h. Il est 9h. Pas de chance. Moi qui voulait me débarrasser rapidement de cette corvée, c’est raté. Du coup, je retourne à la pension et je vais faire mon changement de chambre. Pour cette nuit, j’ai réservé une chambre pour une personne. Je range mon sac et je vais à l’accueil. Mais finalement, je reste dans la même chambre double car il n’y a plus de single room de libre. Retour dans la chambre pour déposer mon sac et tout re-déballer.

Je retourne au Landromat, cette fois, c’est ouvert.

Je mets tout mon linge dans la machine, je règle le programme et hop ! C’est parti pour 30 minutes. Pendant ce temps, je prends un café et j’écris quelques lignes. Puis je mets une partie de mon linge au sèche-linge. Je lance la machine et… elle se met à faire un boucan du diable !!! C’est la folie, ça s’entend jusque dans la salle du restaurant ! Je regarde pour voir comment l’arrêter, rien à faire… Zut. Bon, il y en a pour 30 minutes comme ça. Pendant ce temps, je plie le reste du linge. Soudain, à 3 minutes de la fin du programme, le bruit s’arrête. Je n’ai rien fait de spécial, c’est incompréhensible. Mais ça fait du bien ! J’ouvre : le linge est encore humide, la température n’était pas assez forte. Du coup, quand à la pension, j’étends mon linge partout dans la chambre. J’espère que cela aura le temps de sécher d’ici ce soir… Il fait beau, j’ouvre la fenêtre : ça devrait aider.

Je ressors et je pars en direction du centre-ville. Aujourd’hui, j’ai décidé d’aller à la National Gallery. C’est l’occasion de voir l’une des versions de “Le cri” de Munsch. Impossible de rater cette occasion. Je fais rapidement le tour du musée qui est assez petit. Mais quelques œuvres valent vraiment le détour. Une pièce entière est consacrée à Munsch.

Au milieu, le fameux tableau. Un garde est posté à coté : en 1994, le tableau avait été volé dans le musée même.

C’est l’une des cinq versions du tableau. Et il est vraiment angoissant… mais aussi fascinant. Je reste un moment à le regarder. J’espère pouvoir aller au musée Munsch à la fin de mon séjour, pour voir une autre version, peinte sur carton.

En sortant du musée, je reste un peu en ville. Les rues sont noires de monde. Nous sommes samedi, jour de shopping. Je passe à la gare vérifier les horaires d’ouverture des consignes et repérer les tailles des casiers. Pas possible de payer par carte, il faut que je prévois assez de liquide. Retour en passant par le parc du palais royal. Je prends le temps d’en faire le tour.

Puis je rentre et je commence à trier mes affaires. A gauche, ce que je vais prendre, à droite, ce que je vais laisser en consigne. Je vais le porter pendant 8 jours, il ne faut garder que le minimum. Pas de tente, pas de sac de couchage. Le poids de mon sac n’a rien à voir avec celui de la semaine dernière.

Je ressors acheter à manger et vérifier les horaires de tramway. Retour à la pension. Demain, rendez-vous à 8h à la gare routière pour rejoindre mon groupe et partir pour le Jotunheimen.

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